samedi 8 octobre 2011

Samarcande Bukhara Khiva

Le trek tadjik se poursuit par une semaine de visite Ouzbek, sur les traces d'Alexandre le Grand dont Samarcande formait la frontière orientale, des invasions mongoles et perses, pour le contrôle de la route de la Soie.

départ matinal à Tashkent du "rapide" Registan pour Samarcande


le mausolée
les coupoles légendaires en grand bleu


le Registan





Bukhara






Khiva où le thermomètre flirte avec les 50°... Tous aux abris







et une journée d'étape dans la moderne et agréable Tashkent.


Toutes ces merveilles nous sont désormais accessibles dans des pays libérés il y a 20 ans. Nous devons donc remercier les soviétiques, pour s'être écroulés il y a 20 ans. C'est bien la seule chose dont on peut les remercier.

trek tadjik

ce trek au Tadjikistan est déjà loin... Pamir et Hymalaya convergent à l'Ouest vers une chaine plus modeste, à 5500 tout de même, les Fanskye, plus accessibles.
Equipe locale sympathique que nous avons retenue directement depuis la France. Etapes dans des paysages variés très alpins. Les villages permanents ressemblent aux légendes des Oasis d'Asie Centrale. Les alpages sont occupés l'été par les bergers dont l'hospitalité ne sera plus possible si le tourisme se développe.


départ de l'Oasis de Chourmash / Marzougor
camp devant le pic de Bogdona
Lac Alaudin, et Chimtarga (5485) reflet dans le lac
le cirque glaciaire du Chimtarga
autre versant du lac Alaudin
les murailles à 5200 depuis les lacs Koulikalon


Lacs Koulikalon
Bergerie où le voyageur se voit offrir le yaourt

Valanghi Shakob
Sous le col Monoura
Retour aux oasis... le forgeron de Margouzor
le dernier des 7 Lacs ( Laux ???) de la vallée
Tout cela donne envie de pousser bientôt au Pamir, plus sauvage et inacessible... Pour une prochaine fois... Dans l'immédiat une longue étape nous attend pour gagner Samarcande en Ouzbékistan. La frontière a été fermée, nous obligeant à gagner Tashkent par un réseau routier encore en construction: au temps de l'occupation, les soviétiques n'avaient pas besoin de routes, mais seulement de pistes pour faire circuler les chars et envahir leurs voisins.